D4 – Tom Dereck (US COTEAUX III):”Nous ne sommes pas de vilains casseurs”

L’US des Coteaux III a bien résisté face a Bazillac, avant de craquer sur la fin (0-2). L’entraîneur a aussi répondu aux attaques contre son équipe…

Tom Dereck (entraîneur US des Coteaux III):“Nous ne sommes pas de vilains casseurs”

“Chacun sait que l’US Coteaux est né de la fusion entre Galan et Guizerix. Dans le passé chacun des deux clubs avait une équipe 3 qui n’existait plus manque d’effectif, cette nouvelle aventure a permis de recréer une équipe 3 composée de jeunes et vieux joueurs cherchant avant tout à se faire plaisir ensemble. Bazillac, victorieux de Horgues-Odos en Coupe de France était le gros morceau annoncé de ce championnat D4, en effet une très belle équipe visiteuse se présentait mais nos gars n’ont rien lâché dans aucun compartiment de jeu, si bien que Bazillac, qui peut-être pensait écraser une ‘trois’, doutait et n’arrivait pas à mener à bout ses tentatives. Il a fallu attendre les dix dernières minutes et une fatigue compréhensible pour que les visiteurs prennent l’avantage assez logiquement, mais cela n’enlève rien au courage et à l’abnégation des garçons de l’US Coteaux. 
 J’éviterais de rentrer dans une polémique plus que stérile concernant le ps de mon homologue de Bazillac auquel j’ai souhaité bonne chance après le match. Je l’invite à consulter notre site, où quelques photos ont été mises (eh oui souriez, vous êtes filmés pendant que vous courrez), chacun vérifiera la véracité de son article car c’était loin d’un champ de guerre, monsieur l’arbitre et les joueurs de Campan pourraient en témoigner ! 
Que toutes les autres équipes se rassurent, elles peuvent venir en toute securité chez nous ,sur le terrain et en dehors, nous ne sommes pas de vilains casseurs ni des bouchers désosseurs, cela se saurait depuis le temps que les deux clubs existent , nous n’allons pas passer les dix mois de la saison à scruter le classement, mais à prendre du plaisir à jouer ensemble dans le respect entre amis partenaires et adversaires sur nos terrains bigourdans.”